Quand on a été déshérité, tant de fois
Que la porte s’est refermée, tant de fois
Parfois même sur les doigts
Sans que rien ne vienne soulager
Alors, se montre clairement la situation.
Il y a le chemin des ressentiments, de la haine
De l’hypocrisie, du mensonge
Petits et grands trafiques
Chefaillons ramassant les miettes
Un instant portés aux nues
Pour mieux retomber.
Il y a le chemin du lâcher prise… « Mon image ! »
Voir plus loin, dans la résolution en soi
Poursuivre ce travail jamais fini de démêler les fils
Tendre encore la proposition de l’improbable possible
Qui traverse les limitations, les peurs et les arrogances
Toujours plus facile, sans attente de résultats
Sans plus qu’aucun jugement ne se fasse.
Chacun aura fait ce qu’il aura pu dans ces circonstances particulières
Tous accueillis du même amour, avant la grande dissolution…
Calder Moore
Merci Miche ...
RépondreSupprimerMerci Mala :)
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