De nos doigts
malhabiles nous aurons repoussé
La fine couche de
sable qui dissimulait
Ne voyant pas que ce
geste participait
Prenant peur nous nous
serons frappés
La poitrine, et cela
était aussi utile
Nous croyant perdus
nous aurons pleuré
Et ces larmes ont lavé
Des mains se tendaient
Que nous aurons refusé
de saisir
Et cela était juste.
Alors, oui
Le dire
La vie est un chemin
d’éveil
Pour tous et en tout.
Il n’y a pas de
passage trop étroit
Ni de montagne trop
haute
Ni de désert
trop aride
Ni de plaine
trop fertile.
Tout Est, à sa juste
place
Qui se fait.
Il n’y a pas de
passage trop étroit
Ni de montagne trop
haute
Ni de désert
trop aride
Ni de plaine
trop fertile.
Tout Est, à sa juste
place
Qui se fait.