Si
tu te fais vigile, il te faut savoir sur quoi tu veilles
ainsi, nuits et jours...
Si
tu ne l'ignores encore, c'est tout juste jalonner ton chemin
d'interdits.
Quel
est ce bien si précieux
Qu'il
te faille le porter jusqu'à l'autre rive ?
N'as-tu
pas, ainsi, pris en charge, la charge d'autrui
Le
condamnant à ne point vivre sa vie ?
Se
tromper à ce croisement des chemins
S'est
se perdre tout à fait.
Tu
reconnaîtras la justesse, à la paix intérieure
Qui
précède, accompagne et ferme la marche.
Au plus haut du mât
RépondreSupprimerOuvert à ce qui vient
Le vigile.
Pas sûr que ce soit la meilleure position, le haut du mât ...
RépondreSupprimerNoé envoya la colombe.
Ah, ces capitaines!
RépondreSupprimerCapitaine et vigile travaillent de pair, non ?
RépondreSupprimerCe serait préférable, l'un n'étant pas l'autre...
RépondreSupprimerLe navigateur solitaire fait tout ça, tout seul ! Même briquer le pont... :)
RépondreSupprimerCertes: Il est son seul équipage.
RépondreSupprimerDe fait ! :)
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