Les arbres, peut être parce qu’ils sont si grands
Et tendent leurs bras sans jamais fatiguer.
Les arbres, peut être parce qu’ils se détachent
Silhouettes dans la plaine déserte.
Les arbres, peut être parce qu’au cœur de la ville
Ils murmurent le chant de la forêt
Et au cœur de l'aride, celui de la source
Et dans l’inextricable jungle…
Les arbres, peut être, parce que même abattus
Ils continuent à vivre.
Mais à vrai dire, je ne sais pas pourquoi
Je vois ce qu’ils font en moi
C’est amour.
Arbre, tu es !
RépondreSupprimerOui, tout ce qui nous précède nous le sommes, et ...
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