Au-dessus de la montagne du rond
Un barrage, noir, compact
Dans la cour, ici au Piton Rouge
Ciel vacuité, prendre sa dose
De vitamine D.
Cela dure, le barrage ne cède pas
La trouée de bleu non plus
En un instant, plus de barrage
Plus de soleil, tout s'est mélangé.
Le pluie chagrine, le vent se lève
L'uniformité a tout gagné.
Plus tard, le ciel se dégage
Et au-dessus de la montagne du rond
Le barrage noir, immobile, compact
Assis comme un gros chat noir.
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