La
nature si belle, sauvage
Le
vivant se nourrissant du vivant
Profusion,
gigantesque beauté.
Et
voilà que l'homme apparaît
Plus
agressif que le plus féroce des prédateurs
Et
voilà que l'homme n'est plus en symbiose.
Il
met en péril les écosystèmes, son empreinte
Insupportable
pour la planète
Quel
sens ?
Oui,
cela donne nettement la direction
L'homme
ne peut que profondément changer
Ou
disparaître.
Il
est né sur cette terre, elle l'a nourri, il a grandi
En
nombre, en compétences techniques, en pouvoirs
Maintenant
il lui faut sortir du cocon.
« Il semble impossible de trouver une manière plus simple de cultiver. » Avec la méthode de Masanobu Fukuoka (1913-2008), voici quasiment revenu le temps béni du jardin d’Éden, où les fruits poussent tout seuls, sans travail humain. Fantasme ? Utopie ? Bien au contraire ! Dans « La Révolution d’un seul brin de paille », publié en 1975, le microbiologiste japonais reconverti en paysan expose sa pratique d’une agriculture naturelle, basée sur un interventionnisme minimal pour préserver les équilibres de la terre. Consterné par les ravages de l’agriculture chimique moderne et persuadé qu’un surplus de science ne réparera pas les dégâts qu’elle a elle-même causés, il prône une agriculture simple et modeste, traduction pratique d’une philosophie de retour à la nature. Et obtient des résultats spectaculaires qui font des émules.
RépondreSupprimerhttps://comptoir.org/2017/06/21/vers-une-agriculture-du-non-agir/
Oh Mala, comme tout cela est juste !
Supprimer