La
vieille femme assise
Silencieuses les larmes creusaient le lit des rides
Elles ne savaient plus pourquoi
Ne restait que le vacillement des flammes
Le vent se glissant sous la lourde porte
Ni chaud, ni froid
Elle était assise là...
Certains ont dit, qu'elle avait toujours été là.
Silencieuses les larmes creusaient le lit des rides
Elles ne savaient plus pourquoi
Ne restait que le vacillement des flammes
Le vent se glissant sous la lourde porte
Ni chaud, ni froid
Elle était assise là...
Certains ont dit, qu'elle avait toujours été là.
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