Ce matin yaya me raconte son rêve: y’avais un cheval (on sait pas son nom), il partait avec sa maman, et yaya a pleuré car il s’en allait.« Je jouais avec mon petit cheval, je jouais je jouais et sa maman l’appelait et lui il venait pas il restait avec moi et la maman l’a ramené à sa maison et c’est là que j’ai pleuré. »Mon rêve à moi: naissance de Samuel et horreur il avait une tête de poisson rouge ….. Quel horreur !!!!!!!Et toi dis nous un peu qu’as-tu rêvé ????Jack
Mes
douces et tendres, mes rêves m’échappent encore, ils ne viennent
pas jusqu’au petit matin, ils restent cachés dans la nuit
profonde.
Peut
être parce que ma tête veut trop encore refaire le monde, pourtant
je sens là des formes qui me frôlent, et prennent corps en tant de
sensations.
C’est bien de pleurer, c’est là qu’on commence à comprendre,
sans même le savoir. Laissons l’enfant découvrir ce qui lui
échappe, et aidons là à s’ouvrir au mystère de la vie.
Quant
à toi, ma fille, n’aie pas peur, c’est donc un enfant de la mer
qui te vient, ce sont les plus beaux ! Je te raconterais son
histoire quand nous nous retrouverons.
Il
pleut depuis plusieurs jours, ici. Je ne sais pas sur St Denis, mais
quoi qu’il en soit, je vous sais, paisibles tous les quatre.
Un
arc en ciel de ce trou de montagne jusqu’à l’océan où
décollent les oiseaux de fer.
Mamy
Miche.
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