Le
jeûne long, dans cette exploration du possible
"Vivre sans se nourrir
de la chair d'un autre vivant"
Est encore un travail.
Il y a donc des
résistances et des passages difficiles
Rien qui ne mette en péril
les fonctions vitales, non !
On a faim, on a une grosse envie, une très grosse envie.
Créateur et créature ne reconnaissent pas
C'est
le lien entre le corps et l'esprit qui n'est pas encore établi
Ce
lien rompu par des générations et des générations.
Au point que
l'on peut penser que l'homme est apparu dans cette rupture
Nécessaire,
peut-être, à permettre ce saut quantique de la conscience
Au sein
de la matière incarné.
Margaret Keane
Anonyme : Le dégoût, l’écœurement: puissante impulsion de l'esprit et du corps pour le saut quantique.. Sa chance...
Miche : Oui, comme un suicide...
Miche : ..., non une métamorphose, pour une autre respiration.
Anonyme : A hauteur d'un suicide...
Miche :
Il y a des vagues sur l'océan, certaines mettent plus de temps pour
atteindre le rivage...
Oui, c'est à la hauteur d'un suicide,
puisqu'il y a mort au connu, à toutes ces choses que l'on tient pour
importantes, indispensables, vitales, par habitude. Et que cette
mort, le premier pas, on en décide, on se la donne. Ce "on"
n'a rien d'anonyme...
Ah aussi... définitif, pas de retour en arrière possible.
Pas de retour en arrière possible, juste des bifurcations, des arrêts , tu dis juste Miche
RépondreSupprimer:) Il n'y en a pas, oui !
SupprimerMais à y regarder de plus près,,, comme un feuilleté !