La
nuit... le chant de la nuit
Il
disait
Les
gens ne savent pas, ils ne savent rien
Il
disait...
Elle,
Des
milliers de fois, elle l'avait perdu
Dans le jour aussi
L'avait
cherché, retrouvé et perdu encore
Comme
une folle qui ne sait pas renoncer
C'est
qu'elle savait
Un
nombre de fois nécessaire
Et
cela avait été réalisé
Le
nombre nécessaire
En
elle, l'empreinte indélébile
Vibrante,
vivante.
S'arrêter,
se poser
C'est
là, au creux
C'est
là
De
la terre, au ciel
Le
doux chant de l'aimé.
Le chant de la nuit est si puissant !
RépondreSupprimerInfiniment !
RépondreSupprimer