Nous
marchions, côte à côte...
Presque
de la même hauteur
Toi,
juste un tout petit peu plus grand
Pourquoi remarquer cela ?
Pourquoi
cela était-il important ?
Pourquoi ?
Cela
était important, réellement
Et
se prolongeait, ou plutôt, s'exprimait
En
une sensation de plénitude atteinte
Ce
que l'on a fait, qui nous a changé.
Il y avait toi, il y avait moi
Nous marchions, côte à côte...
Une perle mon amie : https://youtu.be/ZkprfKXvoxU
RépondreSupprimerÉclat de poésie ! Merci douce Mala 🌹
SupprimerEt encore ceci :
RépondreSupprimer“Ensuite, il a dit que nous étions adultes tous les deux, que nous adhérions aux mêmes croyances -c'est-à-dire une absence de croyances-, et que nous devions donc être capables d'envisager de sang- froid la mort qu'il souhaitait, maintenant, recevoir le plus vite possible. Il a répété : "Il est temps. Aide-moi. Je ne veux pas mourir étouffé."
― Françoise Giroud
Ah je ne savais pas que Françoise Giroud avait milité et pratiqué l'euthanasie...
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