Ils
viennent des tréfonds de la nuit
Ces chants, cette musique.
Ils viennent du silence de cet œil immobile
Pourquoi l'avoir dit, comme un juge suprême ?
En lui, rien ne bouge
Sans lui, rien n'existe.
Ces chants, cette musique.
Ils viennent du silence de cet œil immobile
Pourquoi l'avoir dit, comme un juge suprême ?
En lui, rien ne bouge
Sans lui, rien n'existe.
La paradoxe du vivant !
RépondreSupprimerOui !
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