Sur
le dos de tes mots j’ai fait tant de belles glissades
Dans le creux de leur son, tendrement se blottir
Et tes images... si grande ouverture.
Séparés et non séparés.
Manque et état de complétude
Amour absolu dans la plus grande des solitudes.
C’est la condition physique même, de la lumière
Onde et particules.
Paradoxe du vivant, insaisissable par la raison.
Chant de l’univers, au cœur de la cellule
Et toutes les cellules entre elles…
Dans le creux de leur son, tendrement se blottir
Et tes images... si grande ouverture.
Séparés et non séparés.
Manque et état de complétude
Amour absolu dans la plus grande des solitudes.
C’est la condition physique même, de la lumière
Onde et particules.
Paradoxe du vivant, insaisissable par la raison.
Chant de l’univers, au cœur de la cellule
Et toutes les cellules entre elles…
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