Je pense à toi Boubounette
Je ne compte plus les jours
Tu es partie une nuit dans l'entre deux de Belal et Candice
La nuit était calme, je t'ai vue sur la commode
Devant la fenêtre ouverte, tout en long comme une statue allongée
Et j'ai dormi comme je dors depuis le cancer et la chimio
C'est un trou qui m'aspire et m’expulse plusieurs fois
Avant le petit matin
Je ne t'ai pas revue.
J'ai fini par penser que c'était ton choix
Mais voilà que les conditions météos sont catastrophiques
Bien pire que le cyclone et la tempête réunis
Le ciel s'ouvre en deux, la ravine déborde emportant tout
Oh Boubounette ! Fasse que tu sois à l'abri
Que tu aies trouvé refuge, ici ou là-bas !
Je n'ai pas oublié la drôle de nuit où tu étais arrivée...
Chien et chat, chat et chien ... l'arrivée de Boubounette
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos commentaires