C'est
toujours la recherche de la fin d'une pression
La recherche de la
fin d'un état qui fait pression en soi
Trop d'agitation, comme
pas assez.
L'erreur
est de diriger sa quête vers un équilibre des forces
A peine
atteint ce point bascule, il bascule toujours
Car la pression
n'est autre que la résistance au changement.
Circulation
des énergies, des informations
Cette réalité est refusée, elle
est associée en nos esprits à la perte
Sans cesse nous voyons ce
que nous perdons, sans voir la porte qui s'ouvre.
Eric :
De mon
expérience, l'erreur n'est pas de chercher un équilibre des forces,
non,
mais plutôt de vouloir maintenir un point d'équilibre
trouvé,
et de s'y raccrocher en le croyant permanent...
sujette à "bascule" ; qu'il s'agirait plutôt de
parvenir à rééquilibrer
au fur et à mesure des événements,
de la "la circulation des énergies..."
ou se stimuler en cas contraire
(suivant ton exemple).
On pourrait
dire que la perfection (ou point d'équilibre parfait) est
vaine,
Rééquilibrer
= calmer le trop d'agitation
DesMots :
Ce que tu dis
me fait penser au mythe de Sisyphe.
Quand je vois
un piège, je l'évite, d'autant que le piège est produit par le
refus de changement. Il suffit donc (à mon sens) de mettre un terme
à la quête de l'équilibre des forces (idéologie de la perfection
en un point fixe), naturellement les énergies circulent.
Ce que je
fais alors, j'apprends à surfer la vague de l'intensité.
Le temps psychologique !
RépondreSupprimerOui, tu as raison !
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