Il
semble que certains d'entre nous pensent le bonheur comme un bien,
ils l'auraient gagner au bout de tant d'efforts et de mérites, et le
garderaient bien jalousement tant leur peur d'être dépossédés est
grande.
Ils sont persuadés que, leur bonheur, quelques
indésirables (le migrant, l'étranger, le malade, etc.) ne vivent
que pour leur piquer.
Étrange ! Incroyablement étrange que
ce raisonnement qui aurait poussé sur un instinct plus ancien qui
incite à défendre son territoire. Pauvre petit bonheur marchand,
qui ne connaît rien du véritable bonheur qui est conscience,
partage par le principe de la multiplication, en soi...
En vérité c'est de souffrance dont il est question, la souffrance par la peur de perdre, une bien grande souffrance qui s'ignore.
Il est inévitable qu'au moment de se réveiller, il y ait souffrance !
RépondreSupprimer.... tant qu'il y a résistance, oui !
SupprimerEt pas de changement sans résistance !!