De cette défaillance

 

Il semble que certains d'entre nous pensent le bonheur comme un bien, ils l'auraient gagner au bout de tant d'efforts et de mérites, et le garderaient bien jalousement tant leur peur d'être dépossédés est grande.
Ils sont persuadés que, leur bonheur, quelques indésirables (le migrant, l'étranger, le malade, etc.) ne vivent que pour leur piquer.
Étrange ! Incroyablement étrange que ce raisonnement qui aurait poussé sur un instinct plus ancien qui incite à défendre son territoire. Pauvre petit bonheur marchand, qui ne connaît rien du véritable bonheur qui est conscience, partage par le principe de la multiplication, en soi...

En vérité c'est de souffrance dont il est question, la souffrance par la peur de perdre, une bien grande souffrance qui s'ignore.

Cette idée du bonheur

Tous ces efforts
Pour échapper au malheur
Chacun ayant son idée du malheur
Et ils disaient : 
« C’est le bonheur que nous cherchons ».
 
Derrière les masques
La souffrance qui se tait
Qui s’enchante du mensonge
Et s’effraie de la vérité.
 
La joie tranquille, partout
Espace, éther, énergie…
Palpable, effaçant la frontière
Du dedans, du dehors.
 
Y’avait rien à faire
Pas même à se laisser glisser...

 

Merci petite Etoile

Le Bonheur..

Cette bulle qui navigue

Entre mes yeux et Toi..

Cette apnee qui irise

Mes Silences de Toi

Ce feu au regard de braise

Qui consumme mon Ame

Ces etoiles sur le ciel

Qui dessinent nos mains

Ce soupir qui lie nos Coeurs

Ce UN qui fleurit..

Le Bonheur...

Ange, enlace de plumes delicates

Cet Instant feerique....

Eclats de...

 

Rien ne dure

Le bonheur tel des bulles

Il était une fois...

Regarde !
Ce pauvre pantin
Hier tout à l'excitation
Aujourd'hui tout à la dépression
Hier débordant, exultant
Aujourd'hui vide, mais vide !

C'est que vois-tu sortir de chez soi
Pour trouver son bonheur
C'est se condamner à le perdre
Sans cesse, chercher confirmation
Sans cesse, se perdre.

 Carlo Chiostri 

De la multiplication

- La sécurité qu'apporte le bonheur

- C'est un sentiment !

- Oui, le bonheur est toujours un sentiment.

 

Plein ! Il n'y a pas de place pour la peur

On n'ajoute pas du bonheur au bonheur

Cela se multiplie.

   Rosier Marc-Antoine Charpentier

De ce chemin...

« Alors nous allons nous marier, et nous aurons de très beaux enfants ! ».
C’est ainsi que finissent tous les contes de fées
Ça m’a toujours agacée !

Sûrement qu' il y a du contentement à se dire que le bonheur ça existe
Qu'il peut s'installer et vous faire une maison, une famille s'élargissant
Vieillir en un si bel attelage.

Mais vois-tu, j'ai grandi en sachant que le bonheur ça n'existe pas
Dans l'installation, dans la durée, dans la répétition
Qu'au contraire, il engage à être dans le mouvement de l’acceptance. 
 
Naître et mourir …

Tapety na pulpit komputera

Mon bonheur, ma paix, ma tranquillité ...

La question du bonheur traite le plus souvent des efforts ou des techniques (c'est même chose, c'est tension) qui permettraient d'atteindre cet état béni que l'on veut permanent. Il y a en a toujours pour prétendre avoir atteint la perfection de cet équilibre. 

Cette question participe donc du mensonge, aucun équilibre n'autorise la stabilité dans la continuité.

 

Dans l'attention cette question n'existe pas, ce mouvement de se retourner devant le miroir pour apprécier l'état dans lequel on pourrait se dire, ce mouvement ne se fait pas.

 

 Déjà publié ici 

 

 

Pick nick 2cv

Pas content, il est ...

Celui qui n'est pas content

Méfiant,

Aura mille raisons

Si ce n'est une bonne raison

D'être aussi mécontent.

Le bonheur n'a besoin de rien

Il a tout donné

Ne possède rien

Libre, il est.

 

L’Enso est le symbole de la vacuité dans le bouddhisme zen.

Oh bonheur des riches

Le bonheur ce n'est pas cette chose possédée qui ne veut pas être dérangée, surtout pas de dérangement !

-- Ah, non ! Ne me parle pas, surtout pas, de la misère, de ces gens qui n'ont rien, et comment ils pourraient avec ça, être généreux ! ???

La générosité c'est le privilège des riches, distribuer aux plus méritants ! Et qué, si non quel désordre ! L'anarchie quoi ! 

 

Plus léger que l'air...

Quelqu'un disait, voulait, protéger son bonheur

Quelle méprise qui est méconnaissance !

Le bonheur, flux vivant, ne se captive pas

C'est la source même qui jaillit.

Ton p'tit bonheur

Il semble que certains d'entre nous pensent le bonheur comme un bien, ils l'auraient gagner au bout de tant d'efforts et de mérites, et le garderaient bien jalousement tant leur peur d'être dépossédés est grande.

Ils sont persuadés que, leur bonheur, quelques indésirables (le migrant, l'étranger, le malade, etc.) ne vivent que pour leur piquer.

Étrange ! Incroyablement étrange que ce raisonnement qui aurait poussé sur un instinct plus ancien qui incite à défendre son territoire. Pauvre petit bonheur marchand, qui ne connaît rien du véritable bonheur qui est conscience, partage par le principe de la multiplication.

En vérité c'est de souffrance dont il est question, la souffrance par la peur de perdre, la peur de rencontrer, une bien grande souffrance qui s'ignore.