Il
semble que certains d'entre nous pensent le bonheur comme un bien,
ils l'auraient gagner au bout de tant d'efforts et de mérites, et le
garderaient bien jalousement tant leur peur d'être dépossédés
est grande.
Ils
sont persuadés que, leur bonheur, quelques indésirables (le
migrant, l'étranger, le malade, etc.) ne vivent que pour leur
piquer.
Étrange !
Incroyablement étrange que ce raisonnement qui aurait poussé sur un
instinct plus ancien qui incite à défendre son territoire. Pauvre
petit bonheur marchand, qui ne connaît rien du véritable bonheur
qui est conscience, partage par le principe de la multiplication.
En
vérité c'est de souffrance dont il est question, la souffrance par
la peur de perdre, la peur de rencontrer, une bien grande souffrance qui s'ignore.