C’est ainsi que finissent tous les contes de fées
Ça m’a toujours agacée !
Sûrement qu' il y a du contentement à se dire que le bonheur ça existe
Qu'il peut s'installer et vous faire une maison, une famille s'élargissant
Vieillir en un si bel attelage.
Mais vois-tu, j'ai grandi en sachant que le bonheur ça n'existe pas
Dans l'installation, dans la durée, dans la répétition
Qu'au contraire, il engage à être dans le mouvement de l’acceptance.
Naître et mourir …
Tapety na pulpit komputera
Il existe Miche mais ne reste pas il file et nous rend malheureux ....
RépondreSupprimerLoll, "naître et mourir", n'a pas pour vocation à nous rendre malheureux.
Supprimer"Car vois-tu, j'ai grandi en sachant que le bonheur ça n'existe pas
Dans l'installation, dans la durée, dans la répétition
Qu'au contraire, il engage à être dans le mouvement de l’acceptance. "
Je crois que lorsqu'on aime, ce n'est pas le bonheur qui compte, mais le fait d'être deux pour pouvoir affronter ce qui fait si mal.
RépondreSupprimerHalala :)))))))))))) et quand on n'est pas deux ??
SupprimerLa force est dans la plus grande des solitudes.
Quant à aimer ? aimer qui serait utile à ... :)))
Belle journée chère Quichottine.
Intéressant ! c'est que toucher au couple, la famille, l'institution !!!! c'est limite blasphématoire, je te le dis Miche !!!
RépondreSupprimer"Vivre ? Mais vivre c'est vivre à deux (au minimum) ma bonne dame !!!"
;))))))))))))))))))
Oui, nous sommes de passage, et seuls par devant la mort, toujours !
Oui, la naissance dans cette condition est un bon apprentissage, pour le passage dans la grande classe !!! celle où l'on va tout seul !!!
Merci Miche !!!!
Je suis d'accord avec toi. L'incarnation dans ces conditions (en apparence si limitantes) est un lieu d'apprentissage par le détachement des formes illusoires.
SupprimerMerci à toi Mala :))