Les eaux des océans se parent de la couleur du ciel
Jusqu’à en
paraître sales, et pourtant leur nature n’a pas changé.
Que le ciel vacuité soit présent, ouvert sur l’infinité
Et les
vagues se font cristallines, et pourtant rien n’a véritablement
changé.
Mais dans ce ciel, de la première nuit, gris acier, si intense de froideur métallique
Mais dans ce ciel, de la première nuit, gris acier, si intense de froideur métallique
Cela s’ouvre en deux pour que le monde soit.
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