Non, je ne veux pas te
consoler, je n’ai jamais su faire cela
Je ne fais jamais ce
qui est à moi-même, insupportable
Ainsi, j’ai vu
naître et mourir
Et quand l’émotion
est au rendez-vous
Traverser avec elle.
C’est physique,
toujours plus
Ce niveau de vibration
Orage magnétique
Ça parle de tempêtes
à venir
De vie à bras le
corps
Dans naissance et
mort.
De quoi pourrions-nous
donc nous consoler ?
Ce serait renoncer à
l'intensité
De la rencontre où le
monde se crée.
Nancy Friedland
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