Tes mots, en moi
Laissent se murmurer
Cette réalité ultime
Paradoxe absolu
Qui est, qu’il n’y
a rien de réel
Le rêve ne cesse de
naître
Et de mourir.
Rire de la farce, avec
sérieux
Faire ce qu'il y a à
faire
A la façon de l'eau
qui jaillit
Ruisselle les pentes
en fleurissement
Avant de retrouver
l'océan
Et le
ciel infini
Et la
pluie...
Et la pluie...
RépondreSupprimeramie
... Le chant de la pluie
SupprimerLa caresse du vent
💜