C'était si beau. Je
m'en foutais pas mal de savoir si c'était réel ou pas. D'ailleurs
la question du réel ne surgit que là, où l'on veut retenir,
saisir, que cela ne finisse jamais, et incroyable ! aussitôt
cette peur surgit-elle que tout fout le camp. Alors dire, l'illusion,
le fantasme.
C'est si beau, tu es
là et j'y suis aussi
De toute éternité
C'est à peine si nous
sommes nés
Morts un nombre
incroyable de fois.
Tu es si beau dans
cette transparence
Où rien ne se retient
Tout se donne dans ce
partage.
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