Le non-sens, le
non-sens, produit par ces activités humaines, ils disent que cela ne peut pas
changer, que c’est comme ça, qu’on n’y peut rien. Et puis les voici si
dépressifs, à pleurer les morts, toutes les morts, ce qu’on ne peut plus faire
avec un corps qui vieillit. L’alcool, le vin triste, les insomnies, mais où
allez-vous ainsi ? C’est si simple la vie !
La solitude n’est
pas cet enfermement qui fait vos relations sociales.
La chrysalide si
belle, vibrante.
Comment
pouvez-vous vivre comme si avant, comme si après, il n’y avait rien ?
C’est tellement
ridicule !