Les idées… aboutissement de la
forme pensée
Que l’on défendra comme siennes qui ne le sont jamais.
Je préfère et de loin, tout ce qui soulève la poussière du chemin,
Semant ici quelques graines égarées en une terre vierge.
Que l’on défendra comme siennes qui ne le sont jamais.
Je préfère et de loin, tout ce qui soulève la poussière du chemin,
Semant ici quelques graines égarées en une terre vierge.
Le temps, l’illusion du temps qui
passe, et voici un jour nouveau
Un oiseau, le premier lance son chant, sans le
lâcher, aux lueurs du jour qui naît
Le rideau s’ouvre, jaillissement
printanier
L’éternel enfant, l’éternel ami…