Ce que je comprends de la vie,
C'est que les conditions extérieures
Aléas de la vie
Quoi que l'on fasse, nous échappent.
Un temps nous sommes dans la maîtrise
Et puis nous ne le sommes plus
Je ne vois en cela ni récompense, ni punition
Juste que nous nous trompons
En nous attachant à ce qui ne cesse de changer
L'impermanence des choses, voilà ce qui ne finit jamais.
Ce que je comprends encore,
C'est que la seule chose sur laquelle nous agissons
C'est notre état intérieur.
Non pas la question de la bonne santé
Qui ferait que nous ne serions jamais malade
Que nous serions sans douleur, non !
Surfer, surfer la vague, parfois plonger
Puis remonter, comme une danse, et là...
Si vivant ! nous passons.
Puisque nous sommes-là pour passer.
