Il
y a toujours à l'origine un choc psychologique
Trop
de portes qui claquent, trop de bruit de bottes
L'esprit
croit pouvoir contenir, encore et encore
Mais.
Il
a tenu, et c'est le corps qui prend de plein fouet
Et
l'équilibre de cet écosystème s'effondre
Tel
le jeu de cartes. Un virus passant par là
Une
fragilité interne, une usure, et patatras.
Le
corps se met au travail, de digérer, de traiter
Toutes
les informations que l'esprit n'a pas pu
Pas
su, se croyant si fort, lui qui est si fragile.