De l'ordre mondial

 

C'est comme une injonction à marcher ensemble

Coûte que coûte

A tel point que c'est rarissime ce qui marche seul

En-dehors du troupeau, que c'est mal vu

Que cela pourrait bien devenir hors la loi

Et alors pourchasser ces électrons libres.

 

Pourquoi ?

En quoi cela dérange-t-il ?

Qu'est-ce que cela met en péril ?

Cela ouvre une brèche, aussi fine soit-elle

Cela fait un trou dans le filet, un trou c'est une ouverture...

Vite, vite, crient-ils tout va s'en aller par ce trou

Béant, le vide !!! 

Vite, vite, rebouchons-le !

 

Merci Anonyme
Alors c'est la peur ?

Miche
Je le pense oui, la peur quand on ne peut plus le contrôle, quand la porte s'ouvre sur l'inconnu, l' inconnaissable toujours. Tu comprends ?
Cela demande à se mettre encore et encore en chemin, et mourir c'est cela... voilà pourquoi la mort ne peut pas être comprise, enfin par le plus grand nombre... alors c'est elle qui prend en elle. 

 

De l' éducation et de la matrice

 

L'éducation est une somme d'interdits

Des règles que l'on assimile sans même s'en rendre compte

Par le mot, ce qui est dit par ceux qui ont ambition sur nous

Ceux dont nous dépendons et l'enfant dépend toujours des adultes

Parents et autres

L'éducation c'est un cadre dans lequel nous vivons

Qui nous fait.

Se défaire de ce cadre...

Il faut déjà le voir

Avoir le puissant désir d'en sortir

Sans pour autant en vouloir à ceux qui souvent à leurs dépends vous ont enfermé

Sortir du cadre, c'est sortir de la matrice sociétale.

 

 

Déjà publié ici  

Jean Mannheim 

 

 

... quand la variable a changé.

Ils avaient peur, angoissés, affolés

Is ne savaient plus si cela était la réalité, ou pas

Alors ils se demandaient s'ils étaient encore vivants

S'ils n'étaient pas de simples répliques.

Quelle chose étrange !

Comme l'histoire du sauveur qui se révèle le grand exterminateur

Puisqu'ils vivaient dans une réalité virtuelle

Mais ils ne s'en apercevaient pas, sauf quand la variable a changé...

Toutes ces révélations, suspension du temps, éternel présent

Interpénétrations des espaces-temps, glissements... 

Ils sombraient dans le vide qui s'ouvrait sous leurs pieds.

Déjà ici

Angel Boligan

De la matrice

 

– Les gens n'aiment pas entendre parler d'une matrice artificielle dans laquelle ils seraient enfermés sans le savoir. Ils n'aiment pas du tout !

– Oui, j'ai constaté cela. C'est un signe non ? Cette réaction … La peur de l'inconnu ? La peur du diable ? Ce qui nous échappe... s'il n'y avait pas un fondement, un interdit inscrit dans la psyché humaine il n'y aurait pas cette réaction. Ils riraient tout simplement, et même ils ouvriraient leurs bras.

– Il y a quelques téméraires !

– Dont nous sommes, oui. As-tu déjà senti cette odeur de souffre, le contact glacial, le regard qui traverse, implacable, ce qui est sans pitié ?

– Plus encore, la chape de béton, l'enfermement, la soumission, voir tous ces pantins, les ficelles, et ceux qui les manipulent. Ils s'amusent, et puis ne s'amusent plus. Ils travaillent beaucoup pour des possessions qui toujours leur sont retirés. 

 

– Voir nécessite beaucoup d'énergie, et vivre dans la matrice bouffe toute l'énergie. 

– Je sais. 

Déjà publié ici

Esprit malin

Le principe premier de la matrice dévoratrice

C'est de confondre celui-ci avec celui-là

Tous les mêmes, conditionnés à la culture dominante

Au début chaque grain différent, au final tous le même masque

Et l'impossibilité d'ôter ce masque.

Où ils sont très forts les esprits malins

C'est lorsqu'ils vous font croire que vous faites des choix

Ils vous laissent l'illusion de consommer ceci, plutôt que cela

Universalisme, tous les mêmes droits, qu'ils disent !

Tu ne vois plus qu'une masse informe, alors tout est permis.

Les massacres, ces événements si terribles !

Égrégore de souffrance "presque" absolue

Presque …. 

Déjà ici 

"Où trouver l'énergie nécessaire à Voir ?"

– La question est mal posée. Le lieu nous le connaissons, mais il est inaccessible. C'est un cercle vicieux, besoin d'énergie pour Voir la matrice artificielle, mais vivre en elle accapare, alors impossible de Voir, impossible d'accéder à l'énergie libre, impossible de se reconnecter à la matrice naturelle. C'est infernal !

– Inaccessible ? Regarde bien...

– … ouiiiii, l'art de rêver, le rêve en lui-même... les trous dans le filet ! Juste ne pas se laisser accaparer par vivre dans la matrice artificielle, les relations, la famille, les enfants, le travail, la possession, une maison... Juste laisser ces trous grandir, circulation d'énergie ... Et c'est toi qui grandit ainsi, au lieu de te rétrécir toujours plus, vaste comme un monde qui naît d'instant en instant. 

 

– La matrice artificielle ?

– Elle est là, tu la vois, tu peux même la décrire, elle n'agit plus en toi, progressivement elle n'agit plus ...Toute l'énergie disponible...

La question

L'énergie dont nous avons besoin, indispensable énergie pour Voir et enfin se reconnecter à la matrice naturelle, où la trouver ?

Impossible de se reconnecter sans Voir le royaume du mensonge qui s'est construit sur la voie, sur l'unique passage, la matrice artificielle est ce barrage.

Où trouver l'énergie nécessaire à Voir ?

Des enfants

Les enfants voient, et la matrice artificielle, et la matrice naturelle, d'où ce sentiment si profond d’espérance, mais aussi ces peurs si grandes que ceux qui ne voient pas disent irraisonnées, puis sans fondement. Et la raison mettant un terme aux peurs, ferme la porte de Voir, et la matrice artificielle et la matrice naturelle, et le mensonge et la vérité.

C'est bien cela qui est prévu, c'est bien cela qui ne cesse de se produire, de génération en génération, le passage fermé, maintenu fermé, par une armée au service de la matrice artificielle, ils ne savant pas qu'ils sont au service. 

Enfin... un peu quand même. La jouissance du pouvoir sur autrui, aussi petit soit-il, le pouvoir de l'employé de mairie, le pouvoir de l'enseignant, le pouvoir du spécialiste, de l'homme politique, regardez-les dans leurs gesticulations et vous verrez. Mais la peur, fait le miroir qui sépare, et renvoie sans profondeur sa propre image inversée. 

 

Le pouvoir sur autrui, la jouissance du pouvoir, c'est le signe. C'est aussi bien sûr, jouir de la souffrance d'autrui, sentiment de supériorité, certitude de posséder la vérité ( y compris quand la vérité est de savoir que je ne sais pas - là est le summum de l'asservissement à la matrice artificielle).