Tout
ce que nous faisons, y compris et surtout ce qui se prétend être
fait pour les autres, c'est pour nous que nous le faisons. Lorsque
tu arrêtes de le faire (ce que soi-disant tu faisais pour les
autres) c'est que tu n'y trouves plus d’intérêts.
Et si par je ne sais quel miracle, tu fais réellement quelque chose pour quelqu'un d'autre que toi, tu en attends tellement rien que tu ne sais même pas que tu fais cela.
Et si par je ne sais quel miracle, tu fais réellement quelque chose pour quelqu'un d'autre que toi, tu en attends tellement rien que tu ne sais même pas que tu fais cela.
Ce
n'est pas une question de belle âme, de générosité de cœur, de
moral, c'est une question de perception, elle est ou elle n'est pas.
La perception a toujours à voir avec la conscience, premier pas c'est
prise de conscience, puis cela s'installe, l'esprit ouvert claire
conscience en toutes circonstances.
Joan Mirò