Le
plancher est toujours plus pourri Marées
noires, forêts incendiées Océan
bouleversé Terre
empoisonnée, et tous les corps bien sûrs ! Se
déplacer sur ce plancher, c'est vaciller Tituber,
il n'y a plus que les apparences Et
les arrogances Des
mots jetés à l'assaut du ciel. Le
plancher va céder Par
grappes, dans le vide des croyances Ne
pouvant voir que de vide il n'y a pas Ou
encore que tout est vide vibrant.