La
plaine est là, à perte de vue
Les corbeaux fendent toute cette blancheur
Et l’air et le silence
Et l’espace en soi.
Au loin le village désert
Seules les traces de pas
La cheminée de la vieille Pauline
Crache un peu de gris
Cela ne retient rien
Il n’y a que la plaine, immense et nue…
Les corbeaux fendent toute cette blancheur
Et l’air et le silence
Et l’espace en soi.
Au loin le village désert
Seules les traces de pas
La cheminée de la vieille Pauline
Crache un peu de gris
Cela ne retient rien
Il n’y a que la plaine, immense et nue…
Charles-François Daubigny