Vers
dix heures, le vent se lève
Toute
la journée vouée aux alizés
Coups
de vents puissants
Coups
de butoir sans pitié
Qui
ouvrent un passage
Qui
s'engouffre dans le passage
A
la nuit, c'est fini
Vers
18 heures, c'est le repos
Tous
dans la paix du soir.
Paul-Adolphe Kauffmann