Nous
ne cessons de planter des repères
Pour
avancer nous voulons des repères
Pourquoi
pas ?
Le
problème surgit lorsque nous faisons
De
ces points fixes, des vérités
Acquises
ou transmises, elles nous retiennent.
Ce
qui ne devait être que les barreaux d'une échelle
Qui
descend et qui monte, s'impose alors à nous
C'est
un pieu qui retient notre ligne de vie.
Nous
voici donc attachés comme la chèvre dans son pré
La
pré est carré, la chèvre au bout de sa corde décrit
Un
cercle, l'affaire est doublement menée.
Dans
cette problématique seule l'introduction d'un tiers
L'ouverture
à une autre dimension, permet de se libérer
Encore
faut-il avoir renoncer aux repères.
Le faire sans effort, Voir tout simplement, sans juger, ni justifier...