– C'est
beaucoup d'arrogance de penser que le monde à besoin de nous, pour
changer, pour être sauvé. C'est le monde qui nous fait !
– C'est
encore beaucoup d'arrogance que de penser que le monde se fait sans
nous !
Nous nous défendons de beaucoup
de choses, mais c'est à côté, comme de l’esbroufe, une forme
répétitive.
Le vrai problème nous ne le voyons pas encore, il nous fait bien trop peur.
Le vrai problème nous ne le voyons pas encore, il nous fait bien trop peur.
Nous le disons intérieur et le voilà dehors,
nous le disons extérieur et le voilà dedans. Nous le disons
invisible et le voilà visible, et vice-versa, et, etc.