Mon enfant de la nuit ...

 
Oh mon enfant de la nuit
Si petit....
Si fragile.

Tellement sérieux !

De cet oubli

Nous oublions qui nous sommes

Quand le monde extérieur vient nous rattraper.

C'est un fait.

John Williams.

De toi et de moi

Oui tu es libre 

Libre de tout effacer en toi

Mais en moi, tu ne peux rien !

Que je ne décide moi-même.

Marina Richterova

La petite voix... en toi...

Ne laisse pas la tombe de la taisure

Se refermer, là où plus rien ne circule.

Écoute la petite voix, celle qui dit :

« Ne renonce pas. Comme ça, autrement

Peu importe, ne renonce jamais 

A pousser, à tirer, à respirer 

Quelque chose se fait à travers toi

Qui ne se fera pas ailleurs »

Internet

Des gestes qui scellent l’énergie

Ne pas laisser, en soi, la porte se refermer
Car alors tous les démons du passé
Faire ce qu’il se doit
N’attendre après personne
Pour être en paix.

Ce qui vient de l’extérieur
Est tellement imprévisible
Soumis à tant de conditions
Dont on ne saurait juger.

Il me revient de ne pas faire de nœud

Avec ce qui ne m'appartient pas

Je ne puis rien
Que tu ne veuilles toi même.

 Mudra

Et puis fermer les yeux...

Quand les gens sont bien dans ce qu'ils font

C'est tellement paisible

Il n'y a pas alors cette personne et ce qu'elle fait

Non !

Un seul mouvement

Lumière

Joie

Partage.

Nath. N

L'oeil du cyclone, trou noir

En mon centre, où je n'ai pas laissé le concept d'ego pervertir
C'est comme en une terre natale, originelle
Rien, n'y personne, ne peut me déloger de là.

La mort ?
C'est retour en ce centre, déploiement dans une autre dimension.

Pas besoin d'être propriétaire, nul besoin de défendre
C'est la tige qui pousse, en une racine toujours plus profonde.
L’œil du cyclone.

Du pouvoir

Il ne peut être question de regrets

Tel celui qui a tant semé et s'attarde

Pour voir quel résultat ?

Les graines n'appartiennent pas au semeur

Les graines vivantes sont pour la naissance

D'êtres libres, en conscience, libres.

Il n'y a aucune sécurité en cela.

Il n'y a aucune assurance de réussite.

Du viol

C'est de la chimie : la joie, la plénitude, l'ouverture

Le plaisir et l'extase

Tout aussi bien, c'est là, tranquille, paisible

D'instant en instant

Et vois-tu cela n'empêche pas de Voir la laideur

De ces actes humains.

C'est de la chimie interne, nul besoin d'additifs

Ni de la violence des actes

Les actes sont toujours une violence

Pénétrer le territoire d'autrui

Son intimité

S’immiscer dans sa propre relation au monde.

En un appel si pressant

Ce n'est la perception qui nous fait défaut

Rien n'existe sans cet attribut du vivant

C'est la liberté en conscience

Qui nous fait cruellement défaut

Alors tout est pour l'inconscient.

Appel si pressant

Mouvement intérieur qui se dévoile

A lui-même, conscience

Dans le silence

Et c’est présence puissante

Elle te précède, sais-tu ?