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mardi 15 mars 2016

Chez les hommes

Parce qu'il faut bien naître quelque part... Naître chez les hommes, c'est naître dans des lieux fermés à double-tour.
Comme des cocons ?
Non, les cocons c'est vivants, ça respire, ça circule. Les hommes sont grands pourvoyeurs de milieux artificiels, plastiques et compagnie. Il faut le vivre, en faire l'expérience pour se rendre compte de ce que c'est ! C'est vraiment l'épreuve la plus difficile, la plus hasardeuse, la refonte assurée. Mais... si tu franchis le pas, si tu parviens à sortir de leur prison, à t'extraire de la toile du mensonge, alors là !!!! Là, c'est quelque chose !

vendredi 8 janvier 2016

L'homme

Évidemment il ne se passe rien, tant que la psyché reste prisonnière de ses ressentiments, attachée à ses sentiments, liée à ses peurs, peur de n'être rien au-delà de... au-delà de cette limite, votre ticket n'est plus valide.
Le titre du roman de Romain Gary est : « Au-delà de cette limite, votre ticket n'est plus valable ». En voici un que j'ai aimé lire, il y a longtemps déjà, un qui disait que lorsqu'on a été aimé d'une manière absolue par sa mère, on passe le restant de sa vie à chercher cette qualité d'amour sans jamais le trouver. En fait, il avait eu avec celle-ci une relation vraiment pathologique, faite d'attachements mortifères, une mère dominatrice. 
 
Évidemment ne pas guérir de ça, ne pas vouloir en guérir, en faire des mots et ce sont bien des maux, il ne se passe rien, enfin... si, cette désolation, du plaisir à la souffrance, de la souffrance au plaisir, et rien entre les deux.
L'homme est celui qui a inventé le concept du vide, jusqu'aux moindres détails, l'impossible, jusqu'à le sentir dans son corps, le manifester dans toutes ses relations.