L'esprit
peut tout, il peut même se vivre dans cette illusion de
tout pouvoir, le corps ne sera bientôt plus un soucis avec les
bio-techniques.
Le
sens de cette dérive ?
L'esprit
le crée et là, c'est chacun le sien, inexorablement chacun le sien
et dieu pour tous. Parce qu'il a bien fallu l'inventer celui-là, lui
donner tous les noms possibles donc imaginables, pour maintenir tous
ces rêves isolés ensembles.
Dans
ce great american disasteur les goulots d'étranglement se resserrent
et convergent vers un point unique.