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mardi 26 avril 2016

Cela est prévu ...

Il est difficile, voir même, inutile
De faire les comptes
De ce qui aura été rendu plus difficile que nécessaire
Cela Est.

Et c'est toujours le même profil
Le premier pas décidé et c'est le dernier
Ne pas se séparer, tout entier
Dans l'acte.

lundi 8 décembre 2014

Oser

Oser, et alors … plus rien ne s’oppose
Oser.
Tout est là, les peurs, les doutes, les limitations
Le goût de ma rienté, et celui de mon infinitude
Tout se fond dans le creuset vivant
D’où rejaillira des montagnes, des océans.
 
Faire Une fois, des milliers de fois
Le voyage du plus grand au plus petit
Du plus haut, au plus bas
Dans les "quatre" directions
Et dans leur écrasement. 

 

dimanche 9 novembre 2014

Les marchands de méthodes

Ils sont si nombreux les marchands de méthodes ! Celles admises et vantées par le consensus, médecines conventionnelles mais aussi les traditionnelles, celles qui se développent à la marge, sectaires ou pas, elles sont toutes dangereuses, toutes mensongères. Les médecines c'est aussi les religions, les systèmes de pensées, ces représentations qui tracent un chemin d'ici à là-bas. Et actuellement la plus puissante des religions est la science, la science ne vise qu'une chose expliquer le vivant par le commencement, tracer le chemin de là-bas à ici, cette finalité produit des techniques toutes destructives, absolument toutes. C'est le principe de la finalité qui veut ça, et pourtant... cherchant la plus petite des particules, en quête de la brique fondamentale du vivant, la science rencontre cette chose insensée qu'est le monde quantique.
Ouahhh, les cheveux se dressent sur les têtes, on y perd son latin, la raison vacille : qu'est-ce que cela ?
Insaisissable et pourtant c'est pas faute d'essayer, et encore des applications destructives...


Ne sera détruit que ce qui doit l'être, qu'on se le dise. Le principe du vivant qui est naissance et mort est bien à l'abri en chacun de nous, en tout organisme vivant, au cœur de chaque cellule.
Il n'y a donc rien à sauver, juste entrer dans cette jouissance du vivant, en lieu et place de cette tension du refus qui fait l'agonie fantasmagorique.