Le
mouvement d’ouverture ne peut être que pour celui de fermeture.
Sinon
on parlera d’expansion, et l’on se posera la question… de
l’infini… que l’esprit ne peut envisager que comme une
continuité sans fin.
Et
lorsque ce retrait en soi, en l’autre se fait, nous crions au
scandale, nous jugeons, nous condamnons.
C’est
que tout ce qui parle d’interruption, de lucidité, de tranchant,
de mort… vraiment c’est pas beau.
La
chose la plus impressionnante, en ce monde des humains, est bien ce
rejet qui prend tant de formes. La plus évidente étant tous nos
efforts pour ne pas mourir physiquement, durer coûte que coûte.
Un
pas en arrière…
Ben
oui, ce mouvement qui refuse, participe, il est fermeture.
L’intelligence
pure, l’archer, le bras, la flèche, la cible, en UN, rien
n’échappe, tout participe…
Alors ?
Dans
l’accord en ce rythme en soi… une grande paix, un véritable bien
être… l’énergie circule sans encombre, déliant les nœuds en
les trois corps…