Il
n'y avait que les vieillards pour s'arrêter
Quand
le corps le commandait
On
se disait : « Au revoir »
Sans
peur, sans regret
Et
non pas sans mémoire.
Le
monde des vivants et des morts
Ne
s'opposant pas, ne se mélangeant pas
Communiquant
sans dérangement
C'est
cela communiquer dans la relation au monde.
Ce n'est pas perdu, c'est là
Je
veille sur la flamme de ce feu
Chaque
jour, chaque nuit, chaque instant...