Dans le bruissement du
vivant, une plainte
L’entendre…
Le parfum du grand
océan pollué des massacres
Le souffle du vent gémissant des
famines
La lumière du grand astre voilée de nos peurs.
Dans le bruissement du
vivant, une plainte
L’entendre…
Le parfum du grand
océan pollué des massacres
Le souffle du vent gémissant des
famines
La lumière du grand astre voilée de nos peurs.
Comme
tenir son cœur en ses mains
Il est
lourd
Le faire
résonner à plus haute vibration
Le voici
qui devient plus léger
Il s'envole !
La notion de temps est
sans importance
Quand nous aurons quitté ce côté du monde
Et
c'est déjà fait
Nous y serons encore.
Des Mots
C'est joliment dit,
mais quel piège !
Tout est là en vérité
!
Un instant de lâcher
prise et tout est là !
Comme on décide un
matin
De se mettre en chemin
Conscient qu’il n’y a pas de
chemin
Comme le don se décide
Conscient de la complétude
En cela la beauté
Naissance et mort
Un seul mouvement en
soi.
L’Homme Nouveau
Est celui-là
Qui ose
faire alors qu’il est fait
Il ne peut plus se perdre
Libre
et solidaire.