mercredi 15 août 2018

Le sens n'est pas justification

Il y a ces choses qui sont insupportables : les guerres, les enfants qui meurent de faim, la surconsommation, les pollutions, le manque de cohérence, les incompétences de nos gouvernements, les arrogances de tous les spécialistes, tous ces murs qui se dressent les uns contre les autres.


Alors, ne pas se méprendre sur le sens de "tout est utile". Cela ne fait pas justification de ces ignominies causes et conséquences de notre déconnexion en esprit. Cela Est, et c'est bien toute cette souffrance qui fait l'appel puissant, du corps comme du mental, pour franchir le pas, Voir ! 




Internet

De la musique

Quand les hommes ont soufflé la musique
Produisant un rêve sonore
Ils ont dédié cette vibration
Qui à la femme, et elle à l’amant
Qui à dieu, l’unique ou le multiple
A la gloire de l’un, à la gloire de l’autre
La notre, toujours !

Mais il se passe cette chose si belle

Que la musique...  s’envole.
Dans sa geôle, le prisonnier
Dans la cour, l’enfant affamé
Dans la cuisine, dans la chambre
Dans toute la cité
Elle touche…

La nature du vivant révélée
A qui écoute
Libre.


Déjà publié ici  


Ayaka Niwano Photo d'Olivier Ramonteu

De l'art créateur ...

Rarement j'ai vu, une telle capacité à saisir, à exprimer...
Ce qui est de cette tension, la question qui se pose
Et qui jamais ne trouve de réponse
De toute éternité
Elle vient laminer
Labourer les corps
Emporter les esprits
Tanguer ici et tanguer là-bas !

Qu'on ne sait si c'est être vivant ou être mort !



mardi 14 août 2018

De toi à moi

La démesure ?
Ce n'est pas ça le problème !
Le problème c'est l'exigence d'autrui !

Cette démesure en toi me porte
Loin si loin, mon amour
Mais si par malheur tu as des exigences
En dictée, en impositions, décisions !
Tu tues en moi, tu me réduis à néant
Mon corps, mon esprit tu asservis.

Mon âme loin, loin là-bas. 



 Daniel Bosler

Au carrefour...

Si nous ne sommes pas convaincus
De notre puissance, et que nous faisons parti
Du plan
Comment pourrions-nous ?

Comment pourrions-nous nous rendre d'ici à là-bas
Que c'est cela qui est attendu.



Douce nuit...

Oh ma part d'ombre
Et encore ma part de lumière
Avec vous deux, je joue
Puisque mon amant se joue
Il dort maintenant...



De la salutation au soleil

Le soleil est toujours entrain
De se lever et donc de se coucher
Quelque part
Mais en vérité, ni il ne se lève
Ni il ne se couche...

Une évidence ?