Tes mots : « Quoi
qu'il se passe en dehors de nous, ça n'a pas d'existence pour nous,
sauf si nous l'invitons à se produire en nous, ce qui implique que
ce "nous" soit étranger au "moi", nous sommes
bien d'accord sur ce point.
Les
moments de doutes ou de déprimes sont des moments de fermeture, des
conditions où ne nous voulons plus reconnaître la vie de
l'extérieur comme étroitement liée à la vie de l'intérieur.
C'est ce qu'il me semble. »
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