Rien, mais RIEN ne se perd.

Les mots venus du silence

Dans cette intensité

Si particulière, inimitable

Retournent au silence.

Ils ont traversé des couches et des couches

Agissant toujours dans la justesse

Rendant silencieux tout ce qu'ils touchent.

 

 

 Déjà publié ici  

 

 

 Slava Fokk

Tes mots...

Ces mots-là pouvaient être entendus comme une leçon de moral

Magistrale !

Mais aussi on pouvait y percevoir le souffle, celui qui vient du vide

L'énergie libre vient du vide.

Ton poing levé, poing fermé

Alors je le voyais s'ouvrir et la lumière jaillir

Où ? Où ça la lumière ? Où ?

En toi, en moi... non localisée en vérité... 

 Robert Bales

Présence et résonance - Deuxième (27)

Tes mots : « Quoi qu'il se passe en dehors de nous, ça n'a pas d'existence pour nous, sauf si nous l'invitons à se produire en nous, ce qui implique que ce "nous" soit étranger au "moi", nous sommes bien d'accord sur ce point.

Les moments de doutes ou de déprimes sont des moments de fermeture, des conditions où ne nous voulons plus reconnaître la vie de l'extérieur comme étroitement liée à la vie de l'intérieur. C'est ce qu'il me semble. »

"Non-agir" et Verbe

Ailleurs ?

C'est pas la même histoire

L'acte de penser doit soulever des tonnes de savoirs

Sur les rayons des livres et des livres 

Il faut bien les ouvrir !

Ça prend la poussière ces choses là

Un vrai capharnaüm.

Ça vous fait deux sortes de mots

Ceux qui ne voient jamais la lumière

Ni celle du dedans, ni celle du dehors

Que c'est la même, enfin presque

Et ceux qui de la source jaillissante

Sont Verbe.