Lorsqu'un
profond dégoût remonte de mes entrailles, je ne me hâte pas de le
recouvrir avec des pensées positives, je ne le noie pas dans un
activisme forcené, je laisse ce profond dégoût exprimer ce qui se
doit.
La
foule hagarde, sourde à ses propres cris de souffrance, marche en
chantant vers l’abattoir, sans que jamais elle ne puisse toucher en
elle, l'énergie vive.
Une
fuite d'énergie si grande !
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