Je
t'ai regardé ma sœur, quêteuse de vérité, ne trouvant que des
mensonges, je t'ai regardé les yeux du dedans joints aux yeux du
dehors, ton visage si fatigué. Ils avaient réussi à te rendre
malade, à force de tous leurs mensonges éhontés, ceux qui les
faisaient sans vergogne, ceux qui les répétaient dans l'ignorance,
ceux qui ne voulaient pas savoir, ils étaient si nombreux...
Je
te regardais te décomposer, et c'est bien ce qui se passait, tu te
décomposais chaque jour, un peu plus, révélant leurs mensonges.
Mais
tu n'as pas fait ça pour rien, oh que non !
Je
t'ai écoutée et mon corps et mon esprit t'entendaient, l'information
descendant là où ça travaille, par la force de ton propre travail.
Il y en a tant... hélas !
RépondreSupprimerMerci de l'avoir croisée et d'avoir vu... compris.
Je te souhaite une très belle année, Miche.
Merci pour tes pages.
Merci à toi Quichottine, que tes vœux soient comblés !
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