Pas
de peur sans les peureux
Ces
faibles, ces indécis
Qui
produisent cette émotion
Avec
leurs glandes malades
Leurs
habitudes, leurs attachements
Qui
à force deviennent des réalités
Invisibles
puisque forces psychiques
Mais
oh combien actives.
Il
n'y a qu'une façon de franchir cette frontière
De la peur, c'est
de l'affronter
Non
pas la combattre, mais se mettre juste en face
La
regarder, l'entendre, la sentir
Dans
une attention sans faille, mais sans tension.
Alors
la nuit vibrante, dans sa lumière noire
Marcher
en elle, tranquille
Ouverture
à l'inconnu
Aucun
danger ne peut atteindre-là.
L'ouverture est déjà un état de conscience modifiée.
RépondreSupprimerEst-ce ces états particuliers qui mettent hors de danger ?
C'est vrai, l'ouverture est un état de conscience modifié.
RépondreSupprimerJe ne peux rien affirmer concernant la question des dangers, je ne parlerai que de ce que je vis. C'est comme une bulle, sur laquelle "les mauvaises intentions" viennent "frapper", sans pouvoir pénétrer.
Pas toujours, pas toujours Miche !
RépondreSupprimer:)) c'est alors que fermeture, il y a, chère Mala
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