mercredi 5 avril 2017

Oh bien aimé

Le chantage à l'amour
C'est quelque chose...

Ça s'est présenté comme une timidité, maladive, heureusement non diagnostiquée !
L'enfant ne se plaignait de rien, ne refusait pas de descendre à la cave, ne disait rien de la peur qui l’étreignait, elle descendait, voilà tout.
Peur de l'autre, instinctive, et faire avec. Refuser de dire Bonjour, et ça faisait des drames, faire avec.
Non pas conjuguer, non pas se soumettre, réellement faire avec. Ce n'est pas moi qui changeait, ce n'est pas eux qui changeaient, ce n'est pas la peur non plus, rien à changer en vérité.
Comprenne qui pourra, pas la raison en tout cas !

Chaque chose à sa juste place.
Les pièces qui s’emboîtent, circulation d'énergie, marcher seule, et n'être point seule, être dans cette maison, ouverte de tous côtés...
Il n'y a plus besoin de se protéger.

6 commentaires:

  1. Merci pour ces liens, Mémoire du silence
    :)

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  2. Le chantage affectif, comme lorsque nous étions enfants... Oui, Miche, c'est la base de tout système d'éducation.

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  3. Oui, tout ce qui dit quoi faire et comment le faire, ne peut reposer que sur un chantage à l'amour.

    "Tu fais ça, où je ne t'aimes plus."
    Que faire ? C'est tellement violent !

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  4. oui...

    "Aller, soit gentil !" ou "Fais plaisir à maman ou papa !"
    "Aller, sois grand ! "
    oui, c'est TERRIBLE

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  5. Oui, plus c'est insidieux, plus c'est violent...
    "C'est pour ton bien, mon enfant. Je sais pour toi, ce qui est bon pour toi."
    Et qui souffle bien fort l'interdit de quitter la grappe.
    :)

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