- Oui, tout est prétexte à cela.
- L'entraide est pourtant la loi, ici-bas.
- Oui, c'est la condition première.
- On dit aussi que tout va mal, parce qu'il n'y a pas d'entraide.
- On le dit, mais en vérité, dans cette période charnière, l'entraide doit être dépassée.
- Malheur à qui ose dire cela.
- Oui, très mal vu par les temps qui courent.
Alice, oh Alice...
"C’était le Lapin Blanc qui revenait en trottinant, et qui cherchait de tous côtés, d’un air inquiet, comme s’il avait perdu quelque chose ; Alice l’entendit qui marmottait : « La Duchesse ! La Duchesse ! Oh ! mes pauvres pattes ; oh ! ma robe et mes moustaches ! Elle me fera guillotiner aussi vrai que des furets sont des furets ! Où pourrais-je bien les avoir perdus ? » Alice devina tout de suite qu’il cherchait l’éventail et la paire de gants paille, et, comme elle avait bon cœur, elle se mit à les chercher aussi ; mais pas moyen de les trouver.
RépondreSupprimerDu reste, depuis son bain dans la mare aux larmes, tout était changé : la salle, la table de verre, et la petite porte avaient complétement disparu.
Bientôt le Lapin aperçut Alice qui furetait ; il lui cria d’un ton d’impatience : « Eh bien ! Marianne, que faites-vous ici ? Courez vite à la maison me chercher une paire de gants et un éventail ! Allons, dépêchons-nous. »
Alice eut si grand’ peur qu’elle se mit aussitôt à courir dans la direction qu’il indiquait, sans chercher à lui expliquer qu’il se trompait."
Le texte entier ici :
https://fr.wikisource.org/wiki/Alice_au_pays_des_merveilles/Texte_entier
Ohoho Alice !
Merci ! Bonne fin de journée à toi, Mala
RépondreSupprimerMerci de ton attention...