Qui semble n'avoir aucun sens
Qui bouleverse toute logique
Celle que la raison affectionne
Et voit avec effroi s'effondrer.
Il y a quelque chose d'étrange
A être encore vivant, alors que Cela
Qu'on aimait, n'est plus...
Quand le souvenir se fait brûlure
Qu'on aimerait mieux être mort aussi.
Ton souffle c'est fait absence
C'est ton absence que je veille maintenant
Que je veillerai jusqu'à rendre à mon tour
Le souffle chaud du vivant.
Un instant tout était joyeux
Tu courrais au devant de moi
Me surprenant toujours
Chahutant la petite
Que je me fâchais
Je t'aime !!!!
Internet
Vieller l'absence... c'est une belle chose que cela !
RépondreSupprimerMerci pour tes mots Miche.
Oui... tu sais l'absence/présence... ce paradoxe si beau...
RépondreSupprimerMerci Mala.