vendredi 29 décembre 2017

Souffle si léger...

Les mots se présentent dans un drôle d'ordre
Qui semble n'avoir aucun sens
Qui bouleverse toute logique
Celle que la raison affectionne
Et voit avec effroi s'effondrer.

Il y a quelque chose d'étrange
A être encore vivant, alors que Cela
Qu'on aimait, n'est plus...
Quand le souvenir se fait brûlure
Qu'on aimerait mieux être mort aussi.

Ton souffle c'est fait absence
C'est ton absence que je veille maintenant
Que je veillerai jusqu'à rendre à mon tour
Le souffle chaud du vivant.

Un instant tout était joyeux
Tu courrais au devant de moi
Me surprenant toujours
Chahutant la petite
Que je me fâchais
Je t'aime !!!!




 Internet

2 commentaires:

  1. Vieller l'absence... c'est une belle chose que cela !
    Merci pour tes mots Miche.

    RépondreSupprimer
  2. Oui... tu sais l'absence/présence... ce paradoxe si beau...
    Merci Mala.

    RépondreSupprimer

Merci de vos commentaires